L’IA au service de l’humain : ce que cela change pour le travail et l’éducation

Père et enfant discutant joyeusement de l'IA à la maison, symbolisant l'équilibre entre technologie et connexion humaine

Il y a quelques jours, une petite annonce a retenu mon attention – Raymond James recrute un nouveau responsable de la stratégie en IA, David Solganik. Bon, d’accord, ce n’est pas la une de mon journal du matin, mais ça m’a fait sourire. Surtout en repensant aux questions de ma petite de 7 ans hier soir : « Papa, l’ordinateur il rêve comme moi ? » Parce qu’en vrai, derrière chaque ligne de code, il y a une histoire humaine. Alors… comment accompagner nos enfants dans ce monde qui change si vite ?

Un homme, une mission : faire grandir l’intelligence artificielle avec l’humain

David Solganik, expert en IA, travaillant en collaboration avec des équipes humaines pour améliorer l'expérience client

David Solganik débarque chez Raymond James avec une mission qui résonne fort : utiliser l’IA pour sublimer le contact humain, pas le remplacer. Et c’est tout bête quand on y pense ! Comme quand on dit à son enfant : « Non, le robot ne t’embrassera pas bonsoir, mais il peut nous aider à préparer plus vite le goûter pour qu’on ait du temps pour les câlins ». Le PDG de Raymond James, Paul Shoukry, le résume parfaitement : « les relations personnelles resteront toujours au cœur de notre métier ». Ça fait du bien, non ?

C’est ça, l’IA intelligente : elle s’occupe des tâches répétitives – les calculs, les dossiers, les analyses de données – pour qu’on retrouve ce qui compte. Solganik, avec son expérience chez Morgan Stanley ou JPMorgan Chase, connaît bien ce terrain. Mais vous savez ce qui me marque le plus en tant que parent ? C’est que ces outils ne sont pas là pour voler notre place, juste pour nous libérer du temps précieux.

Reprenons ce fil : si l’IA peut simplifier la gestion d’un portefeuille financier, pourquoi ne pas l’utiliser à la maison pour gagner des moments de jeu ? Imaginez un peu : libérés des corvées, on construit des cabanes en coussins ou on rigole en vérifiant si le dessert a assez de citron… comme on le fait avec nos enfants !

L’IA au secours des relations humaines ? C’est possible !

Je sais, certains froncent les sourcils. « L’IA contre l’humain » ? Pas du tout ! Les études le prouvent : dans les métiers comme la finance, l’IA libère les experts des tâches mécaniques pour qu’ils se concentrent sur ce qu’ils font de mieux – conseiller, imaginer, créer. Résultat ? Moins de stress, plus de sourires.

Et chez nous ? C’est pareil. Rien ne nous empêche de programmer un rappel pour les devoirs avec Siri, juste pour profiter du crépuscule en course poursuite dans le jardin. On ne délaisse pas nos kids – on optimise nos instants ensemble !

Et si on transformait ça en moment de complicité ? Ce week-end, posez une question simple : « Tu crois que cette appli comprend quand tu es triste ? » Regardez sa tête s’illuminer de curiosité. Rien de tel pour cultiver leur esprit critique tout en partageant un goûter maison.

Éduquer à l’IA, c’est aussi éduquer à être critique

Enfant et parent vérifiant ensemble une information sur tablette, illustrant l'apprentissage critique de l'IA

Solganik sait que l’IA sans regard humain, c’est comme une recette sans sel – ça ne marche pas. Les chercheurs sont formels : un algorithme suit des données, pas des émotions. Il peut donc parfois sortir des réponses aussi surprenantes qu’un gâteau de riz dans une salade de fruits !

Voilà pourquoi chaque interaction avec un outil numérique est une chance. Pas une contrainte, mais l’occasion de murmurer : « Et si on vérifiait ça ensemble ? » Comme ce jour-là, quand ma petite a cru qu’un chat vidéo-poupe pouvait voler… On a cherché la vérité main dans la main, et depuis, elle rigole en disant : « C’est comme une boussole – elle nous guide mais c’est nous qui marchons ! ».

C’est peut-être ça, l’héritage le plus précieux qu’on peut transmettre : savoir remettre en question, explorer, et surtout… partager la découverte. Parce qu’à la fin, ce n’est pas l’IA qui nous rend forts, mais notre capacité à l’utiliser avec bon sens.

Faire grandir ensemble, avec amour et IA

Famille partageant un moment joyeux autour d'une tablette, symbolisant l'équilibre entre technologie et liens humains

En réfléchissant à cette nomination de Solganik, je réalise quelque chose d’essentiel. Ce n’est pas un match techno contre humain, mais une invitation à collaborer. L’IA bien utilisée, c’est comme ajouter une pincée de citron dans une tarte – juste assez pour réveiller les saveurs, sans jamais la remplacer.

Prenons cet exemple concret : l’étude EY parle même de « cadeau inestimable du temps ». Et franchement, quand on rentre du boulot épuisé mais qu’on a 10 minutes de plus pour écouter les folles théories de nos enfants sur les nuages… ça réchauffe le cœur, non ?

N’ayons pas peur de le dire : l’IA ne menace pas notre humanité. Au contraire, si on la choisit avec sagesse, elle nous rapproche. Elle nous offre ces micro-moments où l’on voit les yeux de nos kids briller en comprenant comment le monde fonctionne. Parce que finalement, ce n’est pas la technologie qui construit l’avenir – ce sont les mains tendues, les questions partagées, et les rires autour d’une tablette… ou d’un goûter.

Source : Raymond James Hires David Solganik as Head of AI Strategy, Globe Newswire, 2025/09/08 19:13:00

Derniers Articles

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Retour en haut