Ce matin, entre les tartines de confiture et les rires de ma petite de 7 ans, je me suis surpris à comparer son échange de jouets à la cour d’école avec une grande nouvelle : Ottawa prépare un registre public pour tracer l’utilisation de l’IA dans nos services gouvernementaux. Et là, l’idée a percé comme une étincelle – et si cette transparence devenait notre plus beau cadeau pour leurs doigts curieux ?
La transparence, comme apprendre à partager une recette de gâteau
Voilà c’est comme quand on explique à un enfant pourquoi on partage son dessert préféré : ça construit un lien de confiance, pas juste une règle arbitraire. Eh bien ce registre public ? C’est exactement ça ! Selon une étude récente, documenter chaque année les projets d’IA créerait un climat de responsabilité collective. Imaginez pouvoir montrer à nos petits comment l’IA traduit des recettes multiculturelles ou suggère les sentiers pédestres les plus gais. Comme soulever le couvercle d’une marmite où mijotent nos valeurs communes !
Où l’IA devient complice sans voler la scène
Comme Stephen Burt, ce responsable des données canadiennes, l’a si bien dit : on ne recense pas chaque courriel rédigé avec Copilot, mais bien les projets qui transforment réellement nos services. C’est très exactement la conversation que j’ai avec ma fille devant une boîte de Lego : quels jouets méritent d’être exposés sur l’étagère et lesquels restent notre secret de famille ? Cette délimitation rassure les chercheurs, qui constatent que la confiance publique dépend surtout de garde-fous clairs, pas seulement de comprendre chaque algorithme. Ce qui m’a vraiment touché, c’est de réaliser qu’avec nos enfants aussi, tout est dans l’équilibre entre exposition et intimité.
Quand les projets fleurissent comme un jardin partagé
« Avant, c’était un projet par ministère », confie une porte-parole. « Aujourd’hui, chaque département cultive sa parcelle d’IA ! » Cette explosion me rappelle tellement le jardin de notre école : un coin pour les haricots, un autre pour les idées nouvelles, avec des partenariats public-privé qui nourrissent près de la moitié des initiatives. Comme quand on mélange kimchi et poutine pour un goûter surprise – parfois c’est ce brassage d’idées qui fait grandir les plus belles cultures.
Transformer la transparence en jeu familial
Pourquoi ne pas explorer ce registre en famille pendant le déjeuner du dimanche ? Demandez à vos enfants : « Comment imagines-tu que l’IA pourrait aider à planifier notre prochaine balade en forêt ? » L’important n’est pas la technologie en elle-même, mais ces instants où nos doigts se croisent sur l’écran pour choisir un jeu éducatif plutôt qu’un parcours scolaire tendu. Le registre, c’est notre guide pour montrer que chaque bot, chaque assistant, doit servir l’humain – comme votre prochain pique-nique devrait servir les fous rires.
Et si on semait l’avenir ensemble aujourd’hui ?
Ce soir, en bordant ma petite, je repensais à ces petites mains qui construisent des ponts en Kapla. Et si ce registre public devenait notre pont à nous – entre technologie responsable et éducation joyeuse ? Un pont où nos enfants apprendraient à questionner en caressant le bois des jouets, pas en fixant un écran. Imaginez leur regard émerveillé quand ils découvriront que derrière chaque décision algorithmique, il y a des parents comme vous et moi qui ont choisi la transparence. Et si on commençait exactement par là : en transformant chaque décision numérique en histoire à partager, comme on ajoute des épices à la recette familiale ?
Source : Ottawa drafts a public registry of AI projects as tech spreads through government, National Observer, 2025/09/09 12:40:04