Vous connaissez cette sensation étouffante, quand il y a trop de choix et qu’on ne sait plus où donner de la tête ? Comme devant un buffet trop rempli où finalement, on ne prend rien. Avec les écrans et les appareils, c’est un peu pareil. Tellement d’options, mais laquelle est vraiment utile pour notre famille ? Et si on apprenait à simplifier, ensemble ?
Quand trop d’options nous paralyse
La liberté de choix, c’est précieux, mais quand il y en a trop, ça tourne à l’angoisse. Les enfants le ressentent aussi : trop de jouets, et voilà qu’ils papillonnent sans se fixer.
Avec les écrans, c’est la même histoire. Des applis, des jeux, des notifications… mais au fond, de quoi a-t-on vraiment besoin ?
Vous avez déjà entendu parler de la fatigue décisionnelle ? Cette usure silencieuse qui grignote notre énergie à force de petits choix insignifiants.
Respirer sans passer par vingt menus et vingt applis. Ça vous tente ?
Choisir l’utile, pas le superflu
Posez-vous cette question toute simple : est-ce que cet outil nous sert vraiment, ou est-ce qu’on l’utilise « parce qu’il est là » ? Comme ces applis qui roupillent dans un dossier depuis la rentrée, qui prennent de la place pour rien.
On finit par se demander : est-ce qu’on maîtrise la technologie, ou est-ce elle qui nous domine ?
Prendre le temps de trier, désinstaller, faire le vide… ça fait un bien fou. Comme ranger une chambre d’enfant : après, on respire mieux, et on retrouve de l’espace pour ce qui compte vraiment.
Des limites bienveillantes, pas des interdits
Essaie d’interdire… et tu sais comment finit la pause-gâteau, non ? Accompagner, c’est déjà moins la foire d’empoigne.
Par exemple : « Pas d’écrans après 20h, pour dormir mieux » plutôt que « C’est comme ça ».
Créer des zones sans écran, des plages horaires dédiées au calme… ça construit un cadre rassurant. Les enfants ont besoin de limites, et nous aussi.
Des petits rituels qui protègent notre bien-être à tous.
Et le sommeil dans tout ça ?
Et vous, quelles applis méritent une seconde chance ?
Les écrans le soir, ça perturbe le sommeil, on le sait. Mais comment faire sans cris ? Instaurer une routine douce : une histoire, une musique, une discussion… et on éteint ensemble.
Montrer l’exemple, aussi. Parce que si papa visionne des stories jusqu’à 1 h…
Petit à petit, ces habitudes s’ancrent. Et les matins sont plus légers, les nuits plus réparatrices.
Lâcher prise sur la perfection
On voudrait tout gérer : les écrans, le travail, les devoirs, les repas… Mais personne n’y arrive sans s’épuiser. Et si on acceptait de faire de son mieux, sans viser la perfection ?
Un planning familial anti-stress, ça commence par des priorités claires et le droit de dire « non ».
On ne répond pas à tous les mails en rentrant. On ne cède pas à toutes les demandes des enfants par peur qu’ils se sentent exclus. On respire, on ajuste, on recommence demain. C’est ça, l’équilibre.
Chez nous, on lâche l’idéal Instagram; on se donne le droit d’être « à peu près ». Demain, c’est la fête du pique-nique au parc – sans appli météo, promis !
Source: Too many tools: How to manage frontend tool overload, Blog Logrocket, 2025/09/11 13:00:47