Pourquoi les nuages ne tombent-ils pas ? Incroyable, n’est-ce pas ? Cette simple question, posée soudain en rangeant les courses, ouvre des mondes d’exploration pour notre enfant. Et voilà comment une simple question sur les nuages nous mène à comprendre comment l’IA apprend – en posant sans cesse des questions ! Ces moments du quotidien, on les sous-estime souvent, mais c’est là que se joue quelque chose d’incroyable ! C’est dans ces petites questions que naît cette curiosité qui va façonner notre enfant. En tant que parents, nous avons ce privilège d’accompagner ces explorations qui façonnent leur regard sur le monde.
Comme père coréo-canadien, je suis fasciné de voir comment ma fille, à sept ans, aborde le monde – avec cette logique directe québécoise parfois et cette curiosité infinie qui me rappelle mes racines coréennes.
Dans notre famille, on aime mêler la curiosité coréenne pour les ‘pourquoi’ avec cette approche pratique québécoise – un mélange qui ouvre tant de portes !
Accueillir chaque ‘pourquoi’ comme une graine à cultiver
Chaque question de notre enfant est un cadeau, une invitation à partager le monde avec bienveillance et humility. Repensons à cette question sur le ciel bleu posée entre deux étals de marché. Au lieu d’une réponse toute faite, c’est l’occasion d’ouvrir ensemble un livre, de chercher des images, de comparer nos observations. Ce qui compte vraiment ? Montrer que chaque interrogation mérite d’être explorée, comme ces systèmes d’IA qui posent des milliers de questions invisibles pour affiner leur compréhension. Dans ces échanges simples, nous transmettons quelque chose d’essentiel : l’idée que chercher compte souvent plus que trouver. Comment encouragez-vous ces moments de recherche commune chez vous ?
Des jeux quotidiens aux concepts d’IA insoupçonnés
Nos enfants n’ont pas besoin de leçons structurées pour apprendre – leur curiosité naturelle est leur meilleure professeure ! Quand un enfant classe ses billes par taille ou tente d’optimiser l’espace dans son cartable, il met en œuvre la même pensée logique que celle qui structure les algorithmes. Ces activités familières – trier, catégoriser, prédire – sont des versions enfantines de ce que font les intelligences artificielles. L’autre jour, en observant un enfant essayer de deviner le plus court chemin pour rentrer du parc en évitant les flaques, je me suis surpris à penser aux systèmes de navigation que nous utilisons chaque semaine. La beauté réside dans cet apprentissage par l’expérience, où l’erreur fait partie du processus. Ces moments où on encourage l’autonomie sans donner la solution toute faite sont précieux.
Technologie comme outil, non comme magie
Dans un monde où les écrans fascinent, comment expliquer simplement que derrière chaque application se cachent des idées humaines ? Peut-être en comparant la tablette à une boîte à outils, comme le marteau ou les ciseaux qu’on utilise pour créer. Montrer qu’une solution technologique naît d’un besoin concret (ranger des photos comme on classe des albums, retrouver un chemin comme on suit un plan dessiné). Cette prise de conscience transforme les enfants en utilisateurs actifs plutôt qu’en consommateurs passifs. N’est-ce pas là notre plus beau défi ?
Notre vie quotidienne comme terrain d’exploration
Qui d’entre nous n’a pas été émerveillé par cette capacité des enfants à voir le monde avec des yeux neufs ? Une simple promenade devient alors leçon vivante : pourquoi ces feux passent au rouge à cet instant ? Comment les commerçants organisent-ils leurs étals ? Chaque observation relie le concret aux systèmes invisibles qui régissent notre environnement. Même un imprévu comme un embouteillage devient alors exercice de résolution de problèmes. Ces situations forgent deux compétences précieuses : la flexibilité face à l’inattendu et la créativité pour trouver des solutions alternatives. Des qualités que même l’IA la plus performante peine à imiter complètement, non ?
Semer aujourd’hui les compétences de demain
Quand on voit un enfant endormi après une journée de découvertes, on imagine l’adulte qu’il deviendra. Dans un monde où l’IA transformera tant de métiers,
ce ne seront pas les connaissances techniques brutes qui feront la différence, mais cette curiosité tenace, cette capacité à poser les bonnes questions, cette résilience face aux défis nouveaux
. Ces qualités humaines – l’empathie, l’intuition, l’éthique – seront nos atouts collectifs. Et elles s’enracinent justement dans ces discussions apparemment anodines sur un plateau de légos ou devant un coucher de soleil.
Source: Shipsy Partners with Tech Mahindra to Expedite Logistics Transformation by Building an AI-Native Supply Chain Ecosystem, PRNewswire, 2025/09/17 07:30:00