Vous souvenez-vous de cette scène typique de la semaine dernière ? Les mains dans la pâte pour préparer le dîner, l’esprit déjà ailleurs, faisant défiler dans votre tête la liste des cartables à préparer pour le lendemain… Vous vous souviendrez, certainement, qu’on a échangé un sourire complice. Cette charge mentale, elle est là, dans chaque recoin de notre quotidien, pourtant si peu souvent nommée. C’est notre quotidien à tous les parents, et pourtant, ce sont des choses que les mamans, surtout, comprennent avec une telle profondeur…
La charge mentale, ce paysage invisible aux yeux
Il y a cet équilibre mental qu’on porte en permanence, comme une carte mentale : le rendez-vous de l’enfant, le nécessaire pour son travail, ces petites choses qu’on oublie parfois…
Les mamans, en particulier, naviguent avec cette intuition presque surnaturelle—savant d’avance que tel jour de la semaine impose tel vêtement pour l’enfant.
Cette charge mentale familiale, ce n’est pas juste une liste de courses à faire. C’est cette pensée qui nous trotte en permanence dans la tête, même quand on a déjà des journées bien remplies.
Le quotidien, cette surcharge qui nous habite
Les parents, ce surdéfi parental, c’est, parfois, juste de voir ses enfants. Cela, c’est la partie la plus simple.
On devrait aussi, intimement, se souvenir, au moment où on s’assoit, sans se dire qu’on le fait, de faire le tour des choses à terminer, à préparer.
On peut se demander comment cette charge mentale persiste, entre les parents, entre les tâches, entre les enfants et les grands-parents, et les amis, et… et ce sentiment, ce petit moment, où on a besoin de lâcher, de prendre un coussin, de laisser la tête se poser.
La recherche d’une harmonie éducative parentale
Alors, c’est trouver cette harmonie éducative parentale: on se regarde, chacun, et on essaie de faire mieux.
Mais parfois, on devient juste très étrange l’un pour l’autre: on voit, avec une certaine tendresse, que la pression est sur les bords — et que chacun a aussi besoin de se reposer.
Mais tout cela, c’est à la fois une part de notre vie et une partie de notre héritage pour nos enfants.
À l’avenir, ils seront peut-être, comme nous, plus heureux parce que nous avons su, ensemble, leur donner à voir, à vivre, et apprendre à laisser aller les petites choses, un peu à la fois, en douceur.
Ce que l’on peut apprendre, ensemble
Ce que l’on peut observer, c’est que cette charge mentale est une part de nous, et qu’on peut la partager avec des mots.
Des petits mots. Des petits gestes, les uns après les autres.
Se dire, sans se cacher, simplement, que l’on a fait de son mieux, même si on sait que ce n’est pas tout.
C’est cela, la vraie possibilité, entre les parents: l’équilibre mental, la famille, l’harmonie familiale — dont on parle si souvent, mais que nous expérimentons chaque jour dans ces moments de crises, de douceurs, de la vie quotidienne.
La conclusion
En fin de compte, c’est peut-être juste de partager, de se regarder et de se dire « merci », pour les petites choses, les grandes choses, les petites stabilités qu’on a su construire ensemble.
Et peut-être, au fond, c’est dans ces petits mots échangés, dans ces regards complices que nous partageons, que se cache la véritable magie familiale. C’est dans ces moments, parfois si simples, que nous trouvons la force de continuer.
Parce que cette charge mentale n’est finalement que la part de notre vie de parent qui nous apprend à partager, à apprendre dans le regard des autres, et à trouver dans notre propre famille cette petite harmonie, si fragile, si précieuse.
Source: ChatGPT Pulse : The AI Assistant That Anticipates Your Every Move, Geeky Gadgets, 2025/09/28 08:00:40