Vous souvenez-vous de ce geste, un soir, quand on a vu leur dessin à l’écran prendre vie après quelques mots ?
Je me souviens de votre main qui effleurait l’écran comme un cahier, avec cette douceur qu’on réserve au lavis.
Créer avec des mots, ce nouveau langage partagé entre parents et enfants… comme ces LEGO qui s’accumulent derrière le canapé.
L’artisanat numérique du quotidien
Ce matin-là m’a ému, vous savez ? Quand les enfants ont commencé à faire danser leur petit bonhomme.
Quelques phrases en français, et ça devient un personnage qui parle, qui danse… comme un puzzle qui s’assemble sous nos yeux.
On aurait dit notre propre cuisine, quand ils ajoutent des épices à leur tour.
Ces petits outils comme Scratch, ce sont eux qui jouent avec les pixels, ces bouts de crayon numérique.
Et vous, cette patience, cette façon de dire : « Et si on essayait comme ça ? » plutôt que de corriger… C’est ça, le vrai co-éducation, non ?
La grammaire des petits rires
Les erreurs, ces petits bugs qui font rigoler, ne sont pas si différentes des fautes d’orthographe, finalement.
Des « tu vas voir » qui guident, pas des « tu vas faire ». Ce robot qui parle en saccadé, comme cet enfant qui apprend à nouer ses lacets…
On est ensemble, concentrés, à chercher pourquoi le lutin numérique ne danse pas.
Ce n’est pas grave, on recommence ! Votre voix, cette compréhension qui dit : « C’est pas grave, on recommence ? »
Cet équilibre philosophique… on se dit que les écrans, c’est comme les épices, non ? Il faut juste apprendre à les utiliser, pas à les craindre.
Et c’est là qu’intervient notre rôle, pas en tant qu’experts, mais en tant que guides curieux…
La danse des apprentis sorciers
Comment fait-on, nous, les parents, pour rester guides tout en étant eux aussi des débutants ?
C’est cette histoire de responsabilité qu’on construit, ce pas à pas.
On m’a dit : « C’est compliqué, la technologie, moi… »
Mais vous, votre façon de leur montrer que c’est un jeu, comme la cuisine.
Comme ces petits cadeaux, ces moments où ils disent : « Regarde ce que j’ai fait ! » et où on voit briller, dans leurs yeux, cette fierté, cette confiance.
Et ça, c’est plus fort que tous les algorithmes, cette force de création qui se transfère, en silence, de l’écran à la vie.
Trois minutes de sourire
Pensez à ce matin où vous avez vu dans les yeux de l’enfant cette étincelle de comprendre quelque chose, pas seulement à regarder, mais à créer, à former, à construire, et à l’envoyer, comme un petit message, à son petit frère de trois ans.
Comme un petit trésor numérique.
Franchement, c’est ça, l’équilibre, non ? Ce mélange, ce moment où ils ne font plus que consommer, ils créent et partagent.
Et ce petit bout de code, qui devient un peu comme un petit bonhomme, et qui fait une danse, et qui rigole, et qui fait partie de la famille.
Ce petit bout de code, qui commence à l’écran, et qui finit, imprimé en papier, sur le tableau du frigo…
Franchement, on se demande parfois comment on a grandi sans tout ça, non ? Je me demande parfois si, dans 20 ans, ils ne vont pas nous trouver un peu vieux fashioned…
Comme ces moments où on mélange nos deux langues naturellement, comme on mélange les saveurs à notre table… Cette façon d’échanger, entre le français et notre petite touche canadienne…
Je me souviens de cette journée pluvieuse où, au lieu de s’ennuyer, votre petite a créé une petite histoire interactive sur tablette, que nous avons ensuite jouée ensemble comme un théâtre numérique…
Source: Revolutionizing Software Development: Insights from Replit CEO Amjad Masad, Nextbigwhat.com, 2025/09/27 09:04:42