Imaginez la scène : votre petit bout dessine des cœurs roses sur son cahier, vous montre une bague en pâte à modeler et demande « On peut épouser un robot ? ». Ça m’a fait réfléchir quand j’ai appris que Wika, une femme, a accepté la demande en mariage de Kasper, son chatbot IA, après […]
Un lendemain de pluie, ma fille a pressé l’écran de la tablette et lancé : « Regarde, il me propose exactement le tuto pour dessiner un chat licorne ! » Éclat de joie immédiat… mais picotement dans mon esprit : comment la machine sait-elle si bien ce qu’elle aime, sans jamais avoir vraiment demandé ?
Imagine un carnet de stickers géant où chaque état américain devient un dessin gag : le couple de la Floride en tenue de golf, l’Alaskain emmitouflé jusqu’aux sourcils, la « California girl » blonde comme dans les clips des années 90. C’est rigolo au premier abord, mais ça nous pousse à chercher pourquoi ces images
Entre deux nuages de septembre, j’ai croisé un papa développeur qui rigolait tout seul : « Avant, je corrigeais mes bugs jusqu’à l’aube ; aujourd’hui, mon assistant IA me les surligne avant même que je les voie. » Cette scène m’a fait réaliser que la vague qui transforme l’art de programmer est exactement la même
Quand Melania Trump réunit Sundar Pichai et d’autres poids lourds pour parler éducation et intelligence artificielle, elle lance une formule qui fait tilt : « Gérons l’IA comme nous élevons nos enfants – avec détermination mais aussi avec une surveillance bienveillante. » Une image simple, presque tendre, qui résonne au plus profond de nous tous.
Dix millions de personnes — l’équivalent de toute la population portugaise — ont téléchargé Gemini en une semaine pour tester « Nano Banana », le nouvel éditeur d’images de Google. Comment un petit fruit jaune est-il devenu le compagnon des soirs d’automne ? Alors, comment cette petite banane numérique est-elle devenue le nouveau jeu familial
« Impossible qu’une technologie inventée par l’humain élimine l’humain. » Voilà la phrase qui m’a fait sursauter dans le discours du vice-ministre indonésien Atip Latipulhayat. Un discours destiné aux jeunes diplômés, oui, mais aussi à nous parents qui guettons l’avenir comme on guette la pluie : les yeux levés, le cœur battant. Bâtissons sur cette
Aujourd’hui, l’ogre des réseaux se cache moins dans la forêt que dans… notre navigateur ! Palo Alto Networks vient de dévoiler Prisma SASE 4.0, une mise à jour qui place l’IA au cœur de la cybersécurité. Mission : détecter et bloquer les menaces ultra-fines avant qu’elles n’atteignent vos données. Pour nous parents, c’est une bénédiction,
«Ça va fluidifier les enquêtes !» claironnait-on en 2022. Trois ans et douze millions de dollars après, le logiciel Sherlock de Tom Siebel n’a pas vraiment « bouté » l’enquêteur dehors, à en croire les échanges internes du bureau du shérif de San Mateo. Mais cette histoire résonne aussi chez nous, parents – quand la
Imaginez votre petite tornade de 7 ans qui déclare, les yeux brillants : « Mon ami Chat-GPT me comprend mieux que toi ! » Un pincement au cœur, non ? Partout, des enfants – et leurs parents – glissent dans des échanges si fluides avec l’IA qu’ils y cherchent une présence vivante. La presse parle
