Explorer les technologies d’IA de pointe à travers un prisme générationnel, démystifiant des innovations comme l’apprentissage automatique et les réseaux de neurones avec des explications simples, des blagues de papa et des conseils pratiques sur la façon dont ces avancées impactent la vie quotidienne et les carrières futures
Imagine un samedi pluvieux où la lumière du salon danse au rythme de cartes colorées posées en pile, où un mini-robot escalade les marches pour ramasser les miettes de cookies, et où soudain le mur de la chambre se transforme en ciel étoilé. Ce n’est plus de la science-fiction ; c’est la sélection « waouh […]
Imaginez le frigo qui murmure « il ne reste plus assez de légumes pour la ratatouille » pendant que le robot aspirateur repère la tache de jus d’orange invisible. Samsung a dévoilé à l’IFA 2025 sa nouvelle feuille de route « AI Home : Future Living, Now » avec une promesse tonitruante : 400 millions
Un sondage 2025 de MIT Technology Review révèle que 70 % des dirigeants bancaires testent ou déploient déjà l’« agentic AI », ces intelligences capables d’agir sans qu’on les pousse à chaque pas. Micro-prêts aux agriculteurs, micro-assurance météo « sur mesure », rééquilibrage automatique des comptes : la machine devient conseiller, percepteur, même négociateur. Épatant…
L’idée qu’un algorithme puisse rédiger, planifier ou même créer la chanson que vous fredonnez sous la douche fait désormais partie du paysage. Côté boulot, OpenAI vient d’annoncer des certifications gratuites et une Jobs Platform pour que salariés, étudiants et parents en reconversion deviennent « bilingues » en intelligence artificielle. McKinsey, de son côté, chiffre le
Salesforce dépasse les attentes, mais sa chute en Bourse raconte autre chose : l’investisseur doute, l’IA inquiète, l’emploi se chuchote. Et nous, parents ? On regarde nos bambins colorier des châteaux de ciel et on se demande s’ils fouleront un monde sans places pour eux. Mais avant de s’inquiéter, respire : ces graphiques en dents
53,9 milliards de dollars en 2024, plus de 100 milliards prévus d’ici 2030 : le « smart office » dévale l’autoroute de la croissance à 13 % par an. Derrière les capteurs de lumière et les écrans interactifs se profile le monde dans lequel nos enfants poseront leurs cartables d’étudiant… puis leurs lunchs d’employé. Alors,
Imagine un studio qui crée un monde virtuel aussi vite qu’un gamin assemble des LEGO. C’est le défi lancé par Min-Liang Tan, fondateur de Razer, désormais convaincu que l’IA va « complètement bouleverser l’industrie du jeu ». Coaching personnel des joueurs, cartes générées en un clin d’œil, personnages non-jouants qui improvisent leurs répliques : le
Imaginez une paire de baskets qui, en plus de vos pieds, chausse aussi votre curiosité. Nike vient d’ouvrir un stage où des étudiants de 20 ans apprennent à « mettre l’IA dans la semelle » : débusquer les mystères cachés dans les données, éviter le gaspillage, rendre le site plus rapide qu’un sprint de 100 m.
Et si la survie des logiciels ressemblait à une ronde enfantine : on avance, on s’adapte… ou on sort du cercle « Évolue ou meurs. » Ce cri lancé aux dirigeants de logiciels résonne comme un jeu de relance sur un terrain de récré : ceux qui n’apprennent pas les nouvelles règles se retrouvent spectateurs.
Cette phrase-là, murmurée alors qu’on admirait ensemble le clair de lune sur l’eau, a fait tilt dans ma tête, plus fort qu’un flash. Google vient de livrer le Pixel 10 Pro avec une promesse qui fait rêver les petits explorateurs : un zoom 100× que l’IA générative complète comme un coloring book. Imaginez – votre
