Nos enfants face aux écrans : trouver l’équilibre ensemble

Ces écrans qui peuplent leur monde… et nos questionnements

Vous les avez remarqués, « Elle était tellement plongée dans sa tablette que le goûter a dégivré tout seul. » Et cette petite inquiétude qui monte doucement. Comment protéger leur cerveau en développement sans devenir le gendarme des écrans ? On se demande parfois si on fait bien, si on devrait interdire ou apprendre à vivre avec. Ces questions, on les partage tous, et c’est en les observant au quotidien qu’on trouve peu à peu notre équilibre.

Quand les écrans deviennent leur refuge solitaire

On les voit parfois, seuls devant l’écran, plongés dans un épisode de Pat’ Patrouille en rediffusion sur TOU.TV, comme absents au monde autour. Cette solitude numérique… elle nous inquiète, n’est-ce pas ? Pourtant, « Bannir d’un claquement de doigts ? On a vite vu que ça crée plus de drames qu’autre chose. » Peut-être que l’approche est ailleurs : dans cette capacité à comprendre ce qu’ils y cherchent vraiment.

Comment j’ai aussi cédé un matin ? « (Oui, j’avoue, j’ai aussi déjà cédé à 6 h 30 du matin pour finir ma tasse de café tiède.) » Ce besoin d’évasion, de calme, ou simplement de suivre les copains… En observant sans juger, on commence à entrevoir leurs véritables besoins émotionnels.

Protéger sans surprotéger : le délicat équilibre

Pas d’écrans avant 6 ans, dit-on… Mais au quotidien, comment tenir ? « (Oui, j’avoue, j’ai aussi déjà cédé à 6 h 30 du matin pour finir ma tasse de café tiède.) » La réalité est souvent plus nuancée. Chez nous, c’est devenu une recherche d’équilibre : des moments définis, des contenus choisis ensemble, et surtout… cette présence à leurs côtés.

Les regarder découvrir, réagir, poser des questions. Finalement, le plus important n’est peut-être pas le temps passé, mais la qualité de l’accompagnement. Ce sont ces petits rires partagés devant un dessin animé qui comptent vraiment.

Quand l’écran s’éteint… que reste-t-il ?

Et après ? Quand l’écran s’éteint, que se passe-t-il ? Ces moments de transition sont précieux. Parfois, ils racontent spontanément ce qu’ils viennent de vivre. D’autres fois, un simple silence complice suffit.

Apprendre à décrocher ensemble, à retrouver le monde réel… C’est tout un art. Des activités simples prennent alors le relais : cuisiner, lire, ou simplement regarder par la fenêtre en devinant les formes des nuages. Ces alternatives, elles construisent leur monde bien au-delà des pixels.

Cohabiter plutôt qu’interdire : une philosophie au quotidien

Et si on apprenait à vivre avec plutôt qu’à lutter contre ? Les écrans font partie de leur monde, c’est une évidence. Alors pourquoi ne pas en faire des alliés ? Des outils pour apprendre, créer, rester connectés… Mais toujours avec ce filtre précieux de notre présence attentive.

Cette cohabitation intelligente, elle s’invente jour après jour, dans le respect de leur rythme et de leurs besoins. Car au final, ce qui compte… c’est de leur offrir un équilibre où technologie et humanité se nourrissent l’une l’autre. « Et si demain ils nous surprenaient en créant leur propre petit film avec le téléphone ? »

Et vous savez quoi ? C’est justement dans ces moments de présence attentive que se construit cette confiance merveilleuse qui leur permettra de naviguer sereinement dans ce monde numérique !

« Règle d’or chez nous : pour chaque écran-minute, une étoile-câlin en vrai monde. »

Source: We Need Empathy And Trust In The World Of AI, Forbes, 2025/09/12

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