On parle souvent de la nuit des premiers temps – cette période où les heures se confondent, où on apprend à danser à quatre, six, ou huit mains. Mais cette fois, on regarde la lumière de l’écran s’allumer, doucement. On souffle, elle et moi, devant ce petit boîtier qui nous propose une solution à un problème. Et là, magie, on retrouve notre duo, notre équipe, au-delà des rôles de maman et papa. Ce n’est pas un fantasme, c’est un nouvel allié, avec des défauts, mais une présence qui nous aide à nous retrouver, elle et moi.
La petite musique qui nous a échappé
Vous vous rappelez ? Ces premiers moments avec les enfants, où on chantait, en boucle, les mêmes ritournelles. On pensait, parfois, qu’on avait oublié qui nous sommes, derrière ces comptines répétées. Mais cette intelligence artificielle fait une chose étrange : elle nous aide à nous entendre. D’abord en prenant en charge ce qui nous épuisait – le planning, la liste des courses automatisées, les alertes pour les rendez-vous médicaux.
Du coup, un peu plus tard, elle nous propose un moment de musique, comme par hasard… Une playlist qui ressemble à celle qui jouait, il y a dix ans, quand on a commencé notre histoire. On se regarde, elle et moi, et on se souvient qu’on est une personne.
Ce silence qui nous réunit, parfois
Puis, doucement, d’autres changements sont arrivés… Dans la nuit, quand les écrans s’allument pour une raison ou une autre – on peut choisir, maintenant, de les faire taire. Mais cette technologie qu’on critique parfois, elle nous permet aussi de lâcher. Elle fait le ménage dans les listes, les priorités, les tâches qui s’accumulent et qui nous volent du temps.
Alors là, parfois, elle nous permet de nous retrouver, dans le bruit qui diminue, car elle peut prendre en charge ce qui est urgent, et nous rappelle ce qu’on avait oublié – un peu de silence, de paroles, ou de la main qui cherche la nôtre au creux de la nuit.
L’erreur, cette petite bouée d’humanité
L’IA, ce n’est pas un oracle. C’est un outil. On a appris à l’observer, et quand elle nous raconte qu’une solution est possible, mais qu’elle ne correspond pas à notre vie, à notre famille, on sourit. On se rend compte à quel point, nous, on est uniques. Et cette différence, c’est justement ce qui nous rapproche.
Et cette différence, c’est justement ce qui nous rapproche.
On ne cède pas à l’illusion de la perfection, mais on accepte, avec l’aide d’une technologie, de lâcher un peu. Ce compagnon numérique, il nous permet parfois de nous inviter, elle et moi, à la faillite – à l’imperfection. Et ce petit abandon, cette acceptation de nos imperfections, c’est notre plus grande libération. Ensemble.
Le petit miracle qui nous prend par la main
Quand on a l’impression que tout le monde nous demande quelque chose – les enfants, le travail, la famille, les amis – on peut se retrouver à ne plus rien demander. On se laisse porter, parce qu’on a trop porté, longtemps. L’IA, avec son petit algorithme réservé, mais attentif, nous propose une solution.
Saviez-vous que cette technologie peut s’intégrer dans nos vies comme ces moments où les saveurs coréennes se marient avec nos habitudes canadiennes ? Imaginez ça ! Du temps pour nous, enfin ! Et hop, tout s’organise comme par magie ! L’autre jour, alors que je tentais de préparer le dîner et aider avec les devoirs, notre assistante a proposé un menu automatique basé sur nos courses… quinze minutes de répit !
Elle nous rappelle que nous, on a besoin d’un moment. Et elle nous propose un plan d’action, pas à nous, mais à tous les autres : les parents, les enfants. Et cette fois, on peut prendre, enfin, quinze minutes pour nous, pour se retrouver, pour parler, pour se souvenir qu’on est une belle histoire d’amour qui a un nouveau chapitre, pas un livre de compte à remplir.
Alors, vous vous demandez peut-être… Source: ChatGPT is getting parental controls starting today – here’s what they do and how to set them up, Techradar.com, 2025/09/29 13:31:53