L’équilibre parental et cette anxiété qui nous habite

Parent rangeant la cuisine tard le soir après le dîner

22h. Enfin, les enfants sont endormis! Vous rangez tranquillement les derniers couverts, un peu fatigué mais le cœur léger – voilà le vrai visage de l’amour parental, non?

Alors, voilà à quoi ressemble vraiment l’amour parental!

Pas celui des magazines ou des réseaux sociaux, non. Celui-là, le vrai, avec toutes les traces de la journée, les doutes, les petites victoires invisibles.

On parle tellement d’équilibre parental, d’anxiété éducative… mais la vérité est là, dans ces moments simples où l’on fait de son mieux, simplement.

Cette inquiétude qui nous habite

Les parents s’inquiètent. Ils veulent bien sûr le meilleur avenir pour leurs enfants. Je vous vois parfois, le soir, vérifier encore le cartable, relire le mot dans le cahier de liaison, hésiter sur le choix de l’activité du mercredi n’est-ce pas ?

On trouve des solutions, on s’adapte. Cette tension permanente, ce souci de bien faire… elle nous habite tous.

Quel que soit son milieu social et culturel, tout parent est confronté, à un moment ou à un autre, à des difficultés. Et pourtant, on avance.

L’harmonie éducative au quotidien

Je me souviens de ce soir où notre ado a claqué sa porte en criant : « Je sais ce que j’ai à faire, c’est de moi qu’il s’agit, pas de vous ! » Vous êtes restée immobile dans la cuisine, les mains tremblantes.

Puis vous avez soupiré, et vous avez préparé son plat préféré pour le lendemain. Vous savez, l’harmonie éducative, elle naît vraiment quand les conflits sont apaisés? C’est dans ces moments que la magie opère!

La force des liens invisibles

La qualité des relations familiales est la meilleure prévention du mal-être. Je le vois chaque jour dans ces petits gestes qui semblent insignifiants mais qui tissent la toile de notre vie commune.

Même quand ils disent « ma mère me saoule », même quand ils claquent les portes, ils savent au fond d’eux que ces repères stables existent.

L’équilibre dans l’imperfection

On parle de jeunes qui pour une majorité écrasante ont un cadre familial fragilisé. Pourtant, je crois que notre force réside justement dans notre capacité à reconnaître nos fragilités.

L’équilibre parental parfait n’existe pas. Ce qui compte, c’est de traverser l’anxiété éducative ensemble et de se dire, en rangeant la cuisine : aujourd’hui, on a fait de notre mieux.

Et demain? On recommence, avec encore plus d’amour et d’énergie! Parce que c’est comme ça qu’on avance, non?

Source : The Fig Strangler: Tips for Successful Legacy Modernisation in Capital Markets (Steve Grob), Finextra, 2025/09/23 15:36:54

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