
Quand les lumières des écrans s’éteignent et que les petits sont déjà dans les bras de Morphée, nos mains serrées se posent. Et nous nous demandons, parfois, comment ces enfants qui nous ressemblent affronteront-ils les algorithmes qui nous dépassent ? C’est un défi colossal, non ? Non pas d’apprendre à utiliser l’IA, mais plutôt de donner la force de l’humaniser…
L’IA dans la vie quotidienne (et non dans le salon)
Vous vous rappelez, cet après-midi où votre enfant de cinq ans a pris la tablette, avec un sourire qui semblait dire : « Je suis né ici, dans ce monde technologique » ? C’est dans son silence, dans son regard curieux, qu’on sent un frisson parcourir notre dos…
Comme dans ma maison où les traditions coréennes rencontrent les habitudes canadiennes, nous apprenons à naviguer entre ces deux mondes – le numérique et le réel. Ces machines qui nous « conseillent » comment élever nos enfants peuvent dérouter.
Pourtant, la petite fille qui s’émerveille, qui demande à l’IA de dessiner un chat, mais qui ne veut pas de la réponse, nous rappelle que le vrai défi n’est pas l’équilibre entre parentalité et IA, mais de préserver la faculté de la surprise, de la curiosité, de l’émerveillement chez l’enfant.
L’Éducation : Plonger en Deux Mètres
Il y a cette petite voix qui chuchote « Faut-il les laisser seuls face à l’informatique, à l’intelligence artificielle ? » Puis, on voit nos enfants jouer avec des apps comme s’ils touchaient des feuilles ou des branches…
Dans une ère où l’IA flotte partout, comme l’air, elle devient un outil à explorer plutôt qu’un ennemi à craindre. Nous devons accompagner, non pas contrôler, avec patience et attention à l’unicité de chacun.
Naviguer entre limites d’âge et réseaux reste un vrai défi. Mais, en partenariat avec nos enfants, découvrons ensemble ces technologies, comme un jeu, s’émerveillant de leurs possibilités et de leurs limites.
Cette approche, même si nous n’avons pas toutes les clés, reste la meilleure : préserver la curiosité humaine plutôt que de considérer la technologie comme une fin en soi.
Le cœur humain face aux défis technologiques
L’autre jour, médusés, nous avons assisté à la scène : l’IA qui répond à l’enfant, et cette petite question qui nous a arraché un sourire complice.
L’autre jour, j’ai vu ma fille de sept ans essayer d’expliquer à l’assistant vocal pourquoi son dessin d’un chat était mieux que celui de l’ordinateur. Son argument ? ‘Les miens ont des yeux qui racontent des histoires…’ Ces instants, ces petites victoires de l’imagination humaine, c’est ça qui compte.
Car, c’est là que réside l’essentiel : pas ce que l’IA peut faire, mais ce que nous, parents et enfants, pouvons accomplir ensemble face à la machine, dans un esprit d’échange, de communication et découte.
Comme l’a si bien dit Madeleine, une maman : « N’est-ce pas, finalement, ce que nous possédons : la capacité de lancer des ponts, pour que, au-delà des algorithmes, les enfants accèdent à la vie ? »
Que l’intelligence artificielle ne puisse jamais remplacer l’intelligence humaine.
Et, en fin de journée, quand les enfants sont couchés après leurs jeux avec l’IA, nous restons seuls, plongés dans le silence, avec cette douce conviction : l’IA n’est qu’un outil, l’humain reste irremplaçable.
Source: AI Optimism To Retail Investors Push: Three Factors Fuelling China’s Stock Market Rally, Ndtvprofit.com, 2025/09/27 17:30:11
