L’IA douce et la chaleur de l’humain : quand l’éthique se tisse entre les super-héros en plastique et les algorithmes

Peluche connectée sur une étagère

Tu sais, j’ai guetté ces instants récemment… ces moments où la peluche connectée, celle qui nous semblait si inoffensive, détournait son attention des petits cailloux trouvés au parc.

Et là, je me suis posé la question… au fait, est-ce que la technologie éduque vraiment, quand elle remplace le contact de nos mains ?

Ce qu’une IA devrait toujours savoir : l’effet d’une seconde main posée sur un épaule qui frissonne

C’est là qu’intervient une question fondamentale que je me pose souvent…

Il y a des choses que les algorithmes ne comprennent pas encore : la manière dont un silence s’étire, puis se brise, lorsqu’un « je t’écoute » est murmuré avec une vraie chaleur humaine, pas comme un chatbot.

Je l’ai vu chez nous, cette petite tête qui se tourne vers l’écran, évitant notre regard… et honnêtement, ça fait mal parfois.

C’est ici, dans cette petite histoire, qu’on doit rester, humains, mêlés à notre entourage pour que tout tienne, au-delà des connexions oubliées.

L’ampoule qui éclaire, mais aussi le câble qui peut brûler

On a essayé, un jour, ce petit jeu IA qui parle comme un enfant, pour apprendre les langues. On a vu cette petite lumière dans les yeux de notre fille, quand la réponse est venue plus vite que notre voix.

Mais derrière, il y avait un silence : cette victoire perdue, celle d’une découverte personnelle, notre propre victoire à nous, parents, à côté de la sienne.

Et quand les larmes coulent, les algorithmes ne savent pas les essuyer ni tenir ces mains tremblantes avec une patience infinie, celle qu’on a quand on prend le temps d’écouter vraiment.

Le fil interrompu : quand on doit choisir les mains, plutôt que les batteries

L’éthique est là, tout le temps : dans les moments où on débranche, pour mieux connecter.

Deux secondes avant de laisser la tablette, on regarde la pluie tomber comme un bruit blanc, et on se demande : est-ce bon ou pas ?

Le vrai enjeu, c’est ce qu’on donne à la place, quand on éteint : nos mains pour explorer les petits cailloux et dessiner des histoires ensemble.

Nous pouvons choisir le temps, choisir l’écran, ou simplement laisser faire, en se posant la question ensemble.

Et alors, on avance à deux, avec cette attention partagée au fil de l’eau, parce que notre petit réseau familial reste connecté, même sans batteries.

Source: The Network: From Foundation to AI Catalyst, Blogs Cisco Com, 2025/09/23 13:00:58

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