Le téléphone sonne. Encore. Et ton petit regard qui se tourne vers toi, interrogateur… ces moments, on les connaît tous, n’est-ce pas?
On est souvent assis à la table, les enfants endormis enfin. Entre les verres, entre les écrans, entre les rires. c’est dans ces moments que notre confiance grandit, petit à petit.
Et si on parlait de ce qui effraie… en douceur?
La sécurité numérique, tu l’as transformée en jeu de patience, en sourires partagés et en moments de complicité.
«Les règles, ce n’est pas pour les apprendre par cœur, mais pour qu’elles deviennent naturelles, comme respirer.»
Un jeu de société à l’heure du numérique
Sur le buffet, on a posé une boîte. Je sais, ce n’est qu’un simple jeu de cartes, mais toi, tu as trouvé comment transformer les règles en sécurité. comme ces repas coréens où tradition et modernité se marient, notre approche numérique trouve aussi cet équilibre délicat.
Alors, on a vu, comme les entreprises, installé, doucement, des petites habitudes. «Je demande avant de télécharger» devient une manche de rigolade.
En fait, ce n’est pas toujours facile, hein? Parfois j’ai envie de tout simplement interdire les écrans… mais non, on trouve ensemble le chemin. Je me demande parfois si je ne suis pas un peu parano… mais non, mieux vaut prévenir que guérir, n’est-ce pas?
Et cette phrase de notre enfant, ce soir : «Maman, sur Instagram, une dame m’a dit bonjour. J’ai fait comme tu dis : je suis parti.» Et là, tu m’as regardé, en silence, et tu as simplement souri. ma fille, elle adore ces moments entre notre culture canadienne et racines coréennes, un peu comme notre façon d’aborder le numérique.
Le mur qui nous parle
Dans le coin du salon, derrière, se cache une boîte à lettres. Un peu bancale, un peu comme notre famille.
On y glisse, avec des mots, des petits papiers, comme des questions, des doutes, des peurs.
On y a posé cette phrase que tu répètes : «Je choisis, toujours, de parler, plutôt que de me cacher.»
Et puis, un soir, on a vu un enfant qui a écrit, en dessinant, une question : «Est-ce qu’on peut bloquer les gens qui font peur ?». Tu as pris ce papier, dessiné une réponse, et transformé ce moment en étreinte familiale.
La sécurité en douceur
On a vu, comme les entreprises, les câbles, et les mots de passe.
Mais toi, tu as ajouté une petite touche : un rituel du soir pour éteindre les appareils en douceur, comme on rangerait de petits câbles.
«C’est notre plus grand antivirus : l’attention.»
Le cocon familial, invisible
Je me souviens de ce soir où tu es venue à la cuisine avec un petit garçon qui a dit : «Je dépose mes questions dans le mur de confiance.»
Tu as pris sa main et expliqué : «C’est notre maison, notre maison à nous tous.»
J’ai compris que cette sécurité est comme une petite lumière, qui brille dans le silence et guide nos pas.
«Notre cocon familial, qui est un rempart, invisible, mais si solide.»
À notre famille, à notre cocon, à notre amour, ce soir.
Alors, oui, la cybersécurité, c’est important. Mais avant tout, c’est construire cette confiance qui nous rend invincibles, ensemble.
Source: KPMG integrates CrowdStrike tech to strengthen cybersecurity, International Accounting Bulletin, 2025/09/23 08:46:15