
Vous vous rappelez, ce soir, quand le dernier manuel de maths est enfin rangé ? Elle était assise là, à la table, un verre vide entre les mains. Elle regardait, sans vraiment voir. Ce même regard, je l’ai vu la semaine dernière quand elle a aidé notre fils à réviser son baccalauréat. On a parlé du stress, du programme de terminale, et puis elle a dit simplement : « On fait avec ». C’est là que la vraie résilience prend vie dans le quotidien.
« On fait avec » : la vraie résilience se mesure dans ces petits redressements du quotidien.
L’année du baccalauréat, ce marathon qui nous concerne tous
On a les chiffres, les stats, les études sur le stress des parents français. Bon, cette histoire, elle se joue dans nos petits gestes, au quotidien. Vous connaissez ces moments, non ? Ces derniers temps, comment elle enregistre les cours de soutien en ligne ? Sans un mot, elle a créé sur le tableau blanc une colonne « Ce qui ressortira » et une autre « Ça, on laisse ». En fait, c’est une manière simple de dire que ce n’est pas une bataille, mais un cheminement : on construit une résilience éducative familiale, une brique à la fois.
Le cartable trop plein, les mots trop lourds
Quand, l’autre jour, notre ado de 15 ans a laissé son sac à dos au milieu de l’entrée, on a parlé du « syndrome du cartable trop plein ». Mais cette fois, elle a fait différemment. Alors, elle a ouvert son sac et a dit : « On choisit, tu vois ? Ce qui pèse, ce qui ne pèse pas ». Et c’est là que j’ai remarqué : enlever deux livres, ajouter un peu de légèreté. Parce qu’être parent, c’est aussi savoir distinguer l’essentiel de l’obligation.
Ces moments, une fois, devant la porte du lycée
Cette semaine, à la sortie du lycée, elle était là, serrée dans son manteau, à l’attendre. Les regards, les silences partagés entre parents. On a juste parlé de la météo, mais c’était un « nous aussi on avance » silencieux. Cette vision des choses m’a conduit à penser à ce qui compte vraiment. Ensuite, à la maison, elle a raccroché le cartable et murmuré : « On va faire avec le temps ». C’est là que j’ai compris : la philosophie de résilience parentale, ce n’est pas dans les grandes déclarations. C’est dans ce petit mot : « Le cœur de notre famille, lui, il est là, entier ».
L’écoute, cette petite révolution qui nous redresse
Ce soir, elle n’a pas bu de ce verre. Elle a juste posé sa main à côté. Wow, cette simplicité ! Il y a quelques jours, notre ado, un peu tendu, rayonnait enfin : « J’ai testé ! ». Et ça, c’était la plus belle des résiliences : la nôtre, qui fait que la pression scolaire ne se transforme pas en enfermement familial. On a fait les choix, les petits pas, les ajustements. On a créé un espace pour dire : « Pas de stress, juste être ».
L’équilibre parental, c’est aussi une simple goutte de vin
Dans la soirée, le calme est revenu. La lampe, la table, la même. Je dois l’admettre, ça m’a touché profondément. Elle a juste posé un verre vide devant elle, puis a pris le petit dernier, qui a besoin de voir des parents résilients. À la place, elle a mis une tasse de thé. Une manière simple de dire : « On est, c’est tout ». C’est cette compétence discrète qui nous guide vers ce qui est excessif, ce qu’il faut prendre avec et ce qu’il suffit d’être.
Source : ‘We Must Never Give Up’, Secretary-General Tells World Leaders, Urging Bold Global Action on Peace, Human Rights, Climate Justice, in High-Level Debate Remarks, Press Un Org, 2025/09/23 18:03:01
