Alors là, est-ce que je suis tombé dans le panneau au début ! En lisant certains textes générés par l’IA, j’ai eu cette impression tristounette de quelque chose de plat, sans âme. Tom Moore, ce prof super inspirant, compare ces dissertations IA à des bonbons bon marché – complètement sans âme, vraiment ! Moi ça me met en rogne, vous savez ? Parce qu’on lâche ces descriptions magiques des raisins frais de la pensée humaine et hop ! On perd Goldorak ! C’est justement pour ça qu’en rentrée, faut qu’on se bouge pour ne pas laisser notre créativité péricliter !
L’IA en classe : super-assistant ou tue-la-créativité ?
Franchement, l’IA peut être un allié de choc pour le brainstorming, c’est dingue ! Imaginez : vous demandez à ChatGPT « )toutes les utilisations possibles d’un trombone ») – le top du top, hop ! En quelques secondes, vogue la galère ! C’est comme avoir un assistant personnel qui vous donne un coup de pouce quand l’inspiration fait la grève ! Vous avez déjà essayé ? Les résultats sont parfois bluffants !
Mais arrêtez-moi si je me trompe… Y’a un vrai hic ! Ces idées de l’IA, on dirait qu’on les voit toujours, partout ! Un peu comme le’utilisation répétée des mêmes expressions dans une conversation. Une étude bluffante où des étudiants brainstormaient avec et sans l’IA a montré que même si ChatGPT boostait la productivité, les idées étaient globalement moins originales que sans. C’est marrant, non ? La technologie, censée aider, qui finalement rétrécit notre horizon créatif…
Et le pire ? Certains étudiants ont peur de devenir dépendants ! Pause machine – on ne dépendrait pas d’une machine pour avoir des idées ? C’est une vraie bombe, et ça me concerne moi aussi, en tant que papa! Franchement, ça donne envie de criler fort…
C’est un peu comme apprendre à faire du vélo avec des stabilisateurs qui ne viennent jamais vraiment enlever – on risque de ne jamais développer l’équilibre nécessaire ! On devient trop tributaire de l’extérieur…
Faut-il craindre cette « boîte à idées » numérisée ?
Alors là, je me pose des questions sérieuses ! Ces applis pédago IA, elles nous mettent dans des cases, comme des emballages préformés. Tout ça, ça nous met un peu à distance, vous voyez ? C’est un peu comme parler avec quelqu’un qui répond toujours pareil, comme un automate ! La réaction humaine, elle, c’est tellement plus vivant !
Jane Riskin, de Stanford, trouve ça tellement juste ! Comparer à passer du « )soleil de la pensée humaine ») à une « )pièce sans fenêtres éclairée au néon »)… C’est dingue comment une image peut tout résumer ! La différence, c’est comme comparer un câlin à un serre-joint : une machine peut imiter, mais elle ne ressent jamais !
Cultiver notre jardin créatif à l’ère numérique : comment faire ?
Alors comment trouver le bon équilibre ? J’ai quelques idées qui marchent pour mon petit bout et qui pourraient vous servir aussi :
1. Usez l’IA comme une ébauche, pas comme fin de parcours !
Encouragez les gamins à prendre les idées IA comme points de départ, puis à les transformer, personnaliser, immerger ! C’est comme demander à quelqu’un de dessiner un map pour une randonnée, mais vous choisissez vos propres chemins secrets ! La magie, c’est justement là !
2. Pratiquez le brainstorming sans technologie
Réservez du temps réel pour penser librement, sans écran. Les idées géniales viennent souvent dans ces moments où on vagabonde sans limites technologiques. Mon petit adoré a trouvé son idée de projet scolaire de cette façon ! C’est magique !
3. Stimulez la réflexion sur le processus créatif
Demandez : « )Comment cette idée est-elle venue ? ») « )Qu’est-ce qui la rend unique à tes yeux ? ») Ça booste énormément la confiance dans leurs propres capacités créatives !
La clé : une collaboration homme-machine, pas une substitution
Et là, il faut absolument repenser notre relation avec l’IA ! Imaginez-la comme un partenaire de brainstorming qui propose des idées, mais vous gardez le dernier mot et l’exécution créative entre vos mains. C’est ça, une vraie relation saine entre l’IA et notre cerveau créatif !
Des écoles commencent à comprendre ça. Au lieu d’interdire purement l’IA, elles apprennent aux étudiants à l’utiliser avec discernement – comme un amplificateur de créativité, pas un susbtitut. C’est pas ça, la bonne solution ?
Après tout, ce qui rend la créativité humaine si chouette, c’est sa capacité à trouver des solutions là où les algorithmes voient des impasses, à créer des liens inattendus et à mettre une touche personnelle que même les IA les plus raffinées ne peuvent reproduire !
Nourrir l’étincelle créative de nos enfants pour demain
En cette rentrée, où les petits retrouvent leurs bancs d’école, c’est l’occasion rêvée de réfléchir à comment on peut préparer nos trésors pour un monde où technologie et humanité dansent ensemble, main dans la main !
En boostant leur confiance créative, on leur donne bien plus qu’un simple bulletin – on leur offre une super-puissance pour s’adapter, innover et percer un jour ! Et ça, aucune IA ne pourra jamais leur voler ! C’est leur atout majeur pour l’avenir !
Peut-être que la meilleure approche est de voir l’IA comme ces jolis cailloux que les enfants collectionnent lors de promenades en famille : ils peuvent inspirer et compléter la collection, mais ce sont les trésors uniques qu’ils découvrent eux-mêmes qui ont la plus grande valeur.
Source: Jelly Beans for Grapes: How AI Can Erode Students’ Creativity, EdSurge, 08/09/2025
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