
Parfois, on tombe sur un titre d’actualité qui nous secoue un peu. « 300 000 emplois menacés par l’IA dans le secteur public. » Ouf ! Ça sonne comme un coup de tonnerre, surtout quand le ciel est déjà un peu couvert. Et bien sûr, vous vous dites : qu’est-ce que cela change pour nos petits explorateurs ? Mais au lieu de voir un nuage sombre, et si on y voyait une opportunité intéressante ?
L’IA dans le gouvernement : un vent de panique ou une simple brise de changement ?

La première réaction face à ce genre de nouvelle, c’est souvent l’inquiétude. On imagine des robots partout, remplaçant tout le monde. C’est humain ! Mais quand on creuse, l’histoire est bien plus nuancée. Comme quand on cuisine ensemble nos pancakes aux graines de sésame et sirop d’érable – ce mélange doux de traditions qui finit toujours par surprendre agréablement. Les recherches, comme celles de Meg Young de Data & Society, montrent qu’on en est encore aux débuts. Pensez-y : on déballe juste une boîte de LEGO complexe. Pour l’instant, le gouvernement apprend à empiler les briques de base : rédiger des courriels, résumer des documents. On est loin du vaisseau spatial intergalactique !
Cette technologie n’est pas prête à prendre les rênes. C’est une phase d’expérimentation, un immense bac à sable où des géants comme OpenAI testent ce qui pourrait servir. Ça dédramatise tout, non ? Plutôt qu’une révolution, c’est une évolution que l’on peut observer et guider ensemble. L’IA dans la fonction publique devient alors une invitation à la curiosité, pas à la peur.
L’IA, notre guide de voyage familial vers le futur imaginaire ?

L’idée n’est pas de remplacer les humains, mais de les assister. Le professeur Joshua Blank parle d’une « chaîne de commandement claire ». Qui est le pilote ? C’est nous ! Hier soir, alors qu’on préparait des crêpes, ma fille a demandé : « Papa, le chat du parc il pense avec l’IA ? » Cette innocence résume tout : ces outils ne sont pas des décideurs, mais des assistants super puissants. Une distinction essentielle.
C’est comme quand on introduit la technologie à nos enfants. On ne leur donne pas une tablette en disant « débrouille-toi ». Non ! On établit des règles ensemble, on choisit les applications. On reste le guide. Exactement ce qui doit se passer dans le monde du travail. Cette collaboration humain-machine est le cœur de l’IA dans la fonction publique.
Et là, ça devient passionnant pour nos enfants ! Les compétences clés ne sont plus la mémorisation ou les tâches répétitives. Ce sont la créativité, la pensée critique, l’empathie. Toutes ces choses que les machines ne pourront jamais imiter. Cultiver l’humanité de nos enfants prend alors une dimension extraordinaire.
Apprendre à nos enfants à questionner le monde avec douceur

Bien sûr, restons lucides. Des études comme celles de l’EPIC montrent que certains outils d’IA peuvent être biaisés, notamment dans la justice. Le gouvernement peine parfois à inventorier ses propres systèmes. Mais c’est justement une leçon de vie précieuse.
Nous devons apprendre à nos enfants à ne pas tout accepter. Leur poser des questions comme « Comment ça marche ? », « Est-ce juste ? », « Qui a décidé cela ? ». Parfois, des décisions sont prises sans discussion réelle – une réalité qui nous rappelle l’importance d’être des citoyens vigilants.
C’est comme apprendre à traverser la rue. On ne leur dit pas juste de faire confiance au feu vert. On leur apprend à regarder, écouter, réfléchir. Cet esprit critique sera leur super-pouvoir pour naviguer dans le monde de demain.
Cultiver des super-pouvoirs humains, pas des robots

Concrètement, on agit avec sérénité. Chaque moment compte. Quand votre fille construit une tour en blocs défiant la grande hauteur, elle n’empile pas juste des cubes. Elle développe résolution de problèmes et persévérance. Lire une histoire ensemble ? Vous cultivez son empathie. Les autres fois, c’est la course à qui trouvera le plus d’étoiles cachées dans les feuilles du parc – un entraînement naturel à l’observation et à la collaboration.
Et si on transformait l’IA en partenaire de jeu ? Demandez à un assistant vocal de proposer une recette avec vos ingrédients. Essayez-la en famille, critiquez-la gentiment, améliorez-la ensemble. Rien de tel pour rendre un outil technique ludique et enseigner la pensée critique !
Construisons l’avenir main dans la main

Oui, le monde change vite. Mais notre rôle reste le même : aimer nos enfants et leur donner racines et ailes. Les compétences dont ils auront besoin – gentillesse, curiosité, courage – sont celles qui font de nous des êtres humains accomplis aujourd’hui.
L’avenir n’est pas une destination effrayante. C’est un chemin que nous construisons chaque jour, dans nos maisons et nos cœurs. En cultivant ces valeurs, nous élevons non seulement des enfants capables de coexister avec l’IA dans la fonction publique, mais une génération qui rendra le monde plus juste et créatif. Et franchement, cette perspective donne envie d’avancer à pas joyeux !
Source : Is AI Running the Government? Here’s What We Know, Gizmodo, 2025/08/30
