Ce matin, en marchant main dans la main vers l’école, j’ai imaginé l’IA surveillant nos enfants au travail. Nous pouvons façonner un avenir où l’IA sert l’humanité.
L’algorithme peut-il devenir le patron de nos enfants ?
Imaginez un patron qui ne dort jamais, qui note chaque clic de souris, qui mesure chaque pause café, un peu comme quand on partage un tteokbokki en famille, et qui peut vous licencier sans même vous regarder dans les yeux. Ça fait froid dans le dos, n’est-ce pas ?
Ce qui m’inquiète profondément, c’est que cette surveillance s’étend bien au-delà des jobs précaires. Elle arrive dans des secteurs comme la santé, le droit, la thérapie… Comme si on voulait réduire l’être humain à une série de données mesurables, oubliant tout ce qui fait notre richesse.
Comment les employés résistent-ils à la surveillance IA ?
On le sait bien, les études le montrent : quand les gens se sentent surveillés par l’IA, leur performance baisse et leur intention de démissionner monte en flèche. Nous, les humains, nous avons besoin de confiance, d’autonomie.
Je me souviens de ma fille qui, l’autre jour, dessinait avec une concentration intense. Si j’avais compté chaque trait de crayon… elle aurait perdu toute cette joie créative.
C’est toute la différence entre un outil qui sert et un outil qui asservit.
Comment préparer nos enfants à un monde du travail avec l’IA ?
En cultivant ce que l’IA ne peut pas reproduire : l’esprit critique, la compassion, cette capacité à résoudre des problèmes complexes avec humanité.
Chez nous, cela signifie encourager les jeux non structurés où ma fille apprend à négocier, à créer. L’éducation à l’IA devrait être un apprentissage de l’équilibre.
Comment construire un avenir où l’IA sert l’humain ?
La vraie question n’est pas si l’IA va remplacer les managers, mais comment nous assurer qu’elle serve à amplifier le meilleur du leadership humain : mentorat, inspiration.
Imaginez un monde où l’IA prend en charge les tâches fastidieuses… libérant les managers pour qu’ils fassent ce qu’ils font de mieux : coacher, inspirer.
L’IA peut-elle rendre le travail plus humain ?
En revenant de l’école, ma fille me tenait la main en sautillant… apportant sa lumière unique sur tout son passage.
L’IA peut soit éteindre cette lumière, soit l’amplifier en nous libérant des tâches fastidieuses. Et si on choisissait, ensemble, d’amplifier cette lumière ? Pour nos enfants, pour demain.