Vous savez, ces soirs où on regarde, presque malgré nous, les reflets des écrans danser sur les murs de la salle de jeux ? Entre les récitations des devoirs sur tablettes et les petits doigts qui s’agitent sur les smartphones, on se demande parfois… Où est passée la douceur du temps ensemble ? En tant […]

Tu as vu ce soir ? Cette petite notification qui s’est allumée, comme un rappel discret pour programmer la machine à laver avant de dormir. Elle a fait naître un sourire fatigué sur ton visage. J’ai vu ta main posée sur le smartphone, entre les photos de la dernière sortie scolaire et les emails professionnels

Nous l’avons tous observé, n’est-ce pas? Cette petite scène muette du quotidien: elle, stoïque face à la tempête de demandes, tout en remettant discrètement le robot doudou à sa place de simple jouet. Son geste délicat comme une philosophie incarnée – entre l’enthousiasme pour les nouvelles technologies et l’intuition farouche de protéger quelque chose d’irréductible.

L’IA dans l’éducation : Comment j’apprends à ma fille de 7 ans à naviguer dans le monde numérique avec joie et confiance ! Vous savez, ces moments où votre enfant vous regarde avec ces yeux pleins d’émerveillement en découvrant quelque chose de nouveau ? Mon cœur de papa bat la chamade à chaque fois !

La maison est enfin silencieuse, enfin… presque silencieuse. Parce que là-haut, derrière leurs portes, ces petites lumières bleues continuent de cligner comme des étoiles perdues. On se retrouve tous les deux à la cuisine, un café refroidissant entre les mains. Et si on… ? commence-t-elle, avant de laisser la phrase s’éteindre. On sait bien ce

L’autre soir, pendant que tu finissais ce dernier mail, j’ai regardé nos mains posées côte à côte. La tienne sur la souris. La mienne sur le biberon tiède… Quand la lumière bleue de l’écran s’est éteinte, j’ai vu cette seconde où tes yeux sont passés du chiffre au visage – le petit qui venait tendrement

Ce soir, quand tu t’es enfin arrêtée, le visage encore marqué du poids de la journée. Les enfants dormaient, enfin, le lave-vaisselle murmurait sa sérénade rassurante. Je t’ai observée dans tes gestes familiers, comme une danse silencieuse : ta main droite ajustait imperceptiblement le cartable, ta gauche traçait le bord du pack de lait entamé.

Hier soir après le dîner, je l’ai vu hésiter. Cette main qui lâchait le téléphone – cette petite notification qui s’éteignait – pour saisir les doigts farineux de notre petit. « On va faire les crêpes en forme de dragon ? ». Ce petit jeu d’équilibre avec les écrans en famille, c’est nous, dans la

Les stores sont baissés depuis trois heures. On entendrait le tic-tac de la montre. Dans le canapé, je reste à t’imaginer assise devant ta machine. La lumière bleue, les écrans qui s’alignent… et toi, là-bas, aux heures où les autres dorment. Quand la maison retombe, c’est toujours ce moment particulier où l’absence de bruit devient

22h17. On éteint la dernière lumière du couloir, celle qui sait que personne n’est dupe. Votre main sur le papier peint qui se décroche, comme chaque jour depuis trois ans. Ces moments qui surgissent, comme des points d’ancrage dans le quotidien. On sait, pas vrai ? Moi, je range les crayons de cire cassés, ces