
C’est souvent quand les enfants dorment enfin qu’on commence vraiment à voir, à comprendre, non ? Et quand les enfants dorment, le monde, notre monde, devient un peu à nous, de nouveau. Ce soir, j’ai pensé à la façon dont nous tenons, malgré la lassitude, et comment chaque jour, loin de la lumière, nous construisons notre résilience, sans même le savoir. Et avouons-le, certaines soirs, ce moment silencieux est le plus précieux, même si on est épuisé, hein ?
Ces gestes quotidiens qui nous font tenir
Vous avez remarqué, ces moments de fatigue ? Quand on lave les couverts, quand on plie, encore, une veste, quand on relit, machinalement, la liste des courses. Un jour, vous avez remarqué, peut-être, que vous changez, de manière discrète, comme une plante qui grandit dans le noir. Et ces gestes répétitifs, en fait, nous sculptent. On nous parle de gestion du stress parental, mais parfois, nous faisons, simplement, et c’est, inconsciemment, que nous nous renforçons.
Les enfants, ils nous transforment, ils nous poussent à trouver notre équilibre. Chaque soir, quand on est les derniers debout, c’est comme si on entraînait notre résilience, sans même s’en rendre compte.
Et quand le matin, tout recommence
Le matin, quand nous préparons le petit déjeuner, dans le silence avant l’orage, le stress, la fatigue, peut s’entendre. Mais nous, nous continuons, nous faisons le thé, les tartines, les petits mots. Nous ne sommes pas que des héros, mais en quelque sorte des artisans, qui façonnons, jour après jour, cette capacité à rebondir. Peut-être comme ces moments où on prépare un dîner qui mêle les saveurs de nos deux cultures, sans en faire trop.
Ce qui nous tient, nous, c’est cette capacité à anticiper, à préparer gentiment, sans trop d’éclat. Et quand nous, parents, nous gérons le stress quotidien, nous faisons, en réalité, de notre propre police, un peu de notre propre résilience, une histoire, et un exemple de vie, pour nos enfants, et pour les autres, comme un écho.
Le partage, qui nous rend aussi forts
Si nous, les parents, nous parlons souvent de notre fatigue, mais notre force, c’est aussi, de savoir, à quel point, nous sommes, nous serons, ensemble, et partagés, dans cette aventure. Imaginez cette force qui grandit en nous, chaque soir, comme un fleuret puissant ! Quand nous avons un peu de courage, nous pouvons, parler, et sentir que les autres, nous autres, les mêmes, et en même temps, différents, sommes là, sans cesse, à la recherche de l’équilibre. Cette communauté de parents qui s’entraide, un peu comme une grande famille élargie, où chacun donne un peu de sa force aux autres.
nous ne sommes jamais vraiment pas seuls dans cette aventure
C’est comme une source cachée en nous, qui jaillit chaque soir pour nous redonner la force de repartir demain, et cette force, c’est précisément ce que nous transmettons à nos enfants, sans même le vouloir., de continuer, de faire, de notre mieux, pour continuer, à être, des parents, debout, et résilients. Ces moments de répit silencieux où on peut enfin souffler, même juste 5 minutes, avant que la tempête du lendemain ne recommence.
Source: Machine Learning (NLP) – 4 Months – West London (Hybrid), Nlppeople.com, 2025/09/30 00:00:00
