
Tu sais, je me suis souvent surpris à te regarder faire, bien sûr de ces gestes du quotidien. Comme ce soir où tu es restée, tablette à la main, à vérifier les contrôles parentaux. Une lumière de veilleuse bleue, ton visage concentré. c’est ça, cette sécurité numérique, plusieurs nuits, plusieurs jours, une main de maman, une main de papa. Et ce n’est pas une question d’application ni de technique, mais de cette volonté commune à tous les parents : protéger, tout simplement.
Cette lumière qui ne s’éteint jamais
Quand j’ai vu les premières études sur les usages, ici, ça m’a frappé – pas comme un chiffre, mais comme un souvenir. Le soir, en rentrant du boulot, et toi, avec ce petit air de dire : ‘Chut, chérie, on a besoin de parler.’ Tu as choisi, avec patience, ensuite, d’expliquer les règles de notre maison numérique – comme on a appris à marcher : ‘On évite, douce, à l’étranger dans la rue’.
Et bien, pour les écrans, c’est pareil. On se demande comment, bien sûr, mais on fait au jour, au jour, avec cette confiance que nous portons, toi, et moi, en tant que guides. notre vigilance, toujours la même, même si les défis sont nouveaux. Tu vois ce que je veux dire ?
Les mots de passe, comme des comptines
Je te regarde, tu sais, quand tu as décidé, avec ce sourire de complicité, de créer les mots de passe avec les enfants. Ce moment où on a transformé l’obligation, cette routine en quelque chose, avec un peu de rire. ‘C’est comme un code secret, viens, on va le faire ensemble !’ – ta voix, douce, sans crainte.
Ensuite, tu as pris la tablette et simplement dit : ‘nous sommes tous protégés‘. Et puis, tu as ajouté un petit ‘mot de maman’ dans le coin de l’écran, un peu de musique, comme ces petits mots glissés dans le sac à lunch. C’est ce que nous cherchons tous, à la fin de la journée, non ?
Cette vigilance, comme une seconde nature
Hier soir, tu as eu ce frisson en voyant une nouvelle notification sur les réseaux, d’un très jeune, à peine. Ta main droite, sur la couverture, comme si la peur était là. Et puis, tu as commencé à parler, calme, avec les enfants, comme à la table d’un soir : ‘Tu sais, ce moment où on doit choisir à qui on donne sa confiance…’
Puis, tu as posé la tablette côté et proposé un jeu de cartes. Hier soir, alors que je me sentais un peu anxieux avec toutes ces nouvelles sur la sécurité en ligne, j’ai proposé un bon vieux jeu de cartes. Et voir nos rires a tout chassé, au moins pour un moment. Une petite dose de sécurité, une autre de joie, et une génération que nous construisons.
Ensemble, sans le mot, mais le cœur plein
La dernière semaine, tu as trouvé un peu de temps pour discuter avec les autres parents de la cyberharcèlement. Et puis, ce soir, tu as posé un document sur la table, pas trop de technique, mais de l’empathie.
Tu as proposé de créer cette petite équipe de parents veilleurs. Comme dans notre famille, où on mêle la douceur coréenne avec la directe canadienne, on trouve notre propre façon d’aborder les écrans. Oui, nous, on fera comme ça, simplement, comme pour les autres choses.
Et je me suis dit, ce petit geste de toi, c’est bâtir une sécurité numérique qui ne va pas seule, mais qui est portée, par tous les parents, comme une main vers l’autre.
L’amour : notre plus forte protection contre la vague numérique
Alors, oui, les technologies auront encore, et pour toujours, à nous étonner. Mais nous, nous avons, grâce à notre vigilance, bien plus.
Et ce n’est pas une solution, mais ce que nous avons déjà, ici, dans ces moments de complicité, ces petits gestes du quotidien, comme jouer, regarder, un peu de parler, et beaucoup de bienveillance.
C’est ainsi, notre meilleure cybersécurité : notre famille bienveillante, ensemble, et notre amour, bien sûr, toujours là, avant, comme avec les nouvelles du jour.
Source: The cryptography deadline: Why post-quantum readiness can’t wait, Siliconangle.com, 2025/09/29 18:54:13
